UN ENFANT NE MERITE PAS ÇA! ni personne

UN ENFANT NE MERITE PAS  ÇA!

ni personne d'ailleurs ....

dans l'horreur de guerre et de tant de violence

voici un texte ....du vécu d'une petite fille!

Nous devons toujours rester à l'intérieur de l'école 

et ne sommes pas autorisés à jouer dehors pendant la récréation.

 Les garçons jouent au football dans les couloirs »,

 explique Lera.



 "Ils ne peuvent pas casser les fenêtres 

à cause des sacs de sable
Un policier armé en tenue de camouflage garde l'école. 

Après qu'un enfant a reçu une balle dans le bras 

sur la cour de récréation,

 les enfants ne sont plus autorisés à jouer dehors.

 Les excursions ne sont pas possibles 

en raison du risque d'explosion de mines 

et de munitions non explosées laissées dans la région.

L'impact de vivre dans une zone de conflit



Afina est une fillette de dix ans 

originaire de l'est de l'Ukraine.

 En raison du stress qu'elle subit depuis huit ans 

à cause du conflit,

 elle a développé un diabète. 


Elle doit mesurer sa glycémie jusqu'à sept fois par jour

 et elle a besoin d'insuline.

Afina avait à peine deux ans 

lorsque les premiers obus sont tombés dans l'est 

de l'Ukraine en 2014. 

Sa mère, Daria, se souvient que sa fille jouait

 près de chez elle

 lorsque le premier char est passé dans leur rue.
"Elle a couru aussi vite qu'elle le pouvait.

 Elle a même perdu ses chaussures à cause de ça", 

dit tristement Daria. "

A partir de ce moment-là, elle a eu peur 

et a pris l'habitude de se cacher derrière moi. 

Elle a aussi beaucoup pleuré."

Malgré son jeune âge,

 Afina s'en souvient encore très bien :

 "Oui, je m'en souviens", dit-elle doucement. 

"Comment j'ai fui le réservoir et j'ai perdu mes tongs. 

J'ai continué à courir pieds nus."

 Après des années de stress dû à la violence 

et aux bombardements constants,

 Afina a finalement reçu un diagnostic de diabète.

 "J'ai commencé à boire beaucoup d'eau", dit-elle.

 "Comme si j'étais toujours déshydraté."

Le conflit affecte également la situation 

financière de sa famille. 

"Nous n'avions plus de revenus", dit Daria. 

"Le salaire de mon mari n'était plus payé 

et même notre vache a cessé de donner du lait

 à cause du stress.

 Nos vies ont été bouleversées pendant des années." 


Il est donc difficile pour la famille d'acheter 

des bandelettes réactives,

des aiguilles et de l'insuline pour Afina.


 "Afina rêve de partir en vacances en avion 

depuis qu'elle est toute petite", raconte Daria.


 "Peut-être qu'un jour nous pourrons le faire.


 Mais tant que le conflit ne sera pas terminé,

 nous vivrons au jour le jour."

Lera et Afina ne sont pas les seules à subir 

les conséquences du conflit en cours en Ukraine.

des informations sur le danger des mines 

à plus de 180 000 enfants, ont été donnés


Fait par le biais d'équipes mobiles, 

d'enseignants et de psychologues scolaires.


 Nous aidons également à restaurer les écoles 

et les jardins d'enfants endommagés 

ainsi que les installations vitales d'approvisionnement

 en eau et d'assainissement. 


 la situation en Ukraine est affolante 

 l'aide apportée par chacun d'entre nous est importante!