face à l’inconséquence des Français.
Aussi peu disciplinés que les Italiens ont été au début de l'épidémie
trop égoïstes pour comprendre les enjeux sanitaires,
indifférents aux difficultés des professionnels de santé
cela résume bien le manque de discipline imposée par l'Etat
Jean Quatremer est très pessimiste quant aux conséquences possibles sur nos libertés.
" Croire que les libertés publiques, la démocratie, sortiront intactes de cet épisode est juste un doux rêve"
" doit-on accepter de sacrifier son bien-être immédiat pour assurer la survie de l’espèce humaine ?" s'interroge-t-il.
" Dieu est mort, vive l’assurance maladie! » dit-il!
" La santé n’est pas une valeur,
c’est un bien: quelque chose d’enviable, pas quelque chose d’admirable! "
des paroles très justes à mon avis!
Voltaire: disait
"J’ai décidé d’être heureux, parce que c’est bon pour la santé."
donc avant, la santé était un moyen pour atteindre le bonheur.
Aujourd’hui, on en fait la fin suprême, dont le bonheur ne serait qu’un moyen !
et si dès à présent on se logeait dans le "sanitairement correct",
comme nous l’avons fait dans le "politiquement correct ".
source
l'espoir ?? ET SI c'était ça ?